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3,8 millions de Français ont consulté pour un problème de poids en 2020

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La prévalence de rupture de suivi post chirurgie bariatrique peut atteindre 56 % à 5 ans

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60 % des problèmes de santé, dont l’obésité, sont principalement liés aux comportements santé.

Notre prise en charge inclut les lignes directrices de la HAS et les meilleures pratiques de changement de comportements santé. ​
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Notre prise en charge s'adresse à tous les publics de plus de 18 ans ayant des antécédents familiaux, étant en situation de surpoids ou d'obésité ou personnes ayant subi une chirurgie bariatrique.

  • Un suivi par des professionnels du soin
  • Des techniques comportementales validées
  • Le ciblage des déterminants psycho-sociaux
  • Une approche multicomposante et individualisée
  • Un plan personnel de santé et un suivi personnalisés

  • Une évaluation des risques santé, des habitudes de vie et du profil motivationnel
  • Une évaluation des risques santé, des habitudes de vie et du profil motivationnel
  • Un plan personnel 360 (alimentation, activité physique adaptée, santé mentale… mais aussi adhésion thérapeutique
  • Une équipe pluriprofessionnelle de la santé (infirmiers, diététiciens, enseignants APA, psychologues, …) pour encadrer et guider
  • Des interactions régulières basées sur les techniques motivationnelles et comportementales
  • Une liaison avec le soin (orientation, adressage, suivi du patient)
  • Un suivi dans la durée qui s’adapte à tous les moments de vie
obésité

Notre protocole

Nos résultats en matière d’obésité 

Avant

Je n'ai pas été suivi sur le plan alimentaire après ma chirurgie.

Avant

Malgré mes efforts, je ne réussis pas à stabiliser mon poids.

Avant

Je mange mal, malgré tous les conseils que j’ai reçus.

Eléments clés de la prise en charge de l’obésité chez l’adulte

La littérature scientifique (voir la FAQ pour plus d’informations) récente confirme que les comportements santé représentent une contribution majeure à l’obésité chez l’adulte.​

Les prises en charge les plus efficaces combinent plusieurs composantes : modification des habitudes alimentaires, augmentation d’activité physique, interventions psycho-comportementales (CBT, ACT), gestion du sommeil et prise en compte des comorbidités (diabète, HTA…). La personnalisation (objectifs SMART, ajustements selon comorbidités et préférences) augmente l’adhésion et les résultats.

Les études récentes montrent que l’effet des interventions est fortement médié par l’intensité et la qualité de l’auto-surveillance et du feedback.

Les interventions numériques “pures” ont souvent des effets modestes ; l’ajout d’un contact humain (télécoaching, sessions individuelles ou groupes) améliore la rétention et l’amplitude de la perte de poids. L’humain favorise l’alliance, la résolution de problèmes et la personnalisation en temps réel.

Rappels programmés, sessions “refresher”, ou contacts de suivi (mensuels/quarterly) sont nécessaires pour conserver les bénéfices acquis. Les revues récentes insistent sur la maintenance active comme condition du succès prolongé.

Le traitement de l’obésité doit intégrer des volets pour réduire la stigmatisation interne, traiter l’anxiété/dépression et inclure des stratégies contre l’alimentation émotionnelle — ces éléments influencent directement l’adhésion et la réussite.

Les BCTs sont associés à de meilleurs résultats sont (renforcement social, formation d’habitudes…). Leur inclusion systématique et explicite dans les interventions augmente l’efficacité.

Santé numérique, comportements santé et prise en charge de l'obésité : les questions les plus courantes

Les recherches récentes montrent que la réussite d’une prise en charge de l’obésité ne repose pas seulement sur l’alimentation ou l’exercice, mais aussi sur la modification des comportements santé et l’intégration de solutions numériques innovantes.
• Les interventions numériques pour adultes en surpoids/obésité induisent des pertes de 2 à 4 kg en moyenne à court terme (3–6 mois), et jusqu’à 5 kg ou plus dans les programmes personnalisés ou hybrides.
• Les effets sont similaires au présentiel si le programme est bien conçu et inclut des BCTs et un soutien humain.
• Les comportements santé clés — alimentation émotionnelle, croyances de contrôle, évitement social, qualité du sommeil — modulent fortement l’adhésion et les résultats.
• L’engagement et la maintenance planifiée sont les déterminants majeurs de la durabilité des effets.
• Les interventions numériques pour adultes en surpoids/obésité induisent des pertes de 2 à 4 kg en moyenne à court terme (3–6 mois), et jusqu’à 5 kg ou plus dans les programmes personnalisés ou hybrides.
• Les effets sont similaires au présentiel si le programme est bien conçu et inclut des BCTs et un soutien humain.
• Les comportements santé clés — alimentation émotionnelle, croyances de contrôle, évitement social, qualité du sommeil — modulent fortement l’adhésion et les résultats.
• L’engagement et la maintenance planifiée sont les déterminants majeurs de la durabilité des effets.
En détails
Ce que disent les études sur l’efficacité des prises en charge numériques de l’obésité
Efficacité globale des thérapies digitales
Les interventions numériques permettent des pertes significatives. Une revue (Kupila et al., 2023) rapporte une perte moyenne de −4,32 kg vs soins usuels et des résultats similaires aux interventions en personne (différence de seulement −0,12 kg).
Les interventions personnalisées
Une revue de 15 RCTs (2021) montre que les programmes personnalisés en ligne induisent une perte moyenne de −2,77 kg (IC 95 % −3,54 à −2,00).
Les Digital Behaviour Change Interventions (DBCIs)
Une méta-analyse 2025 (npj Digital Medicine) conclut à des effets positifs : activité physique (SMD = 0,324) et mesures corporelles (poids, IMC, tour de taille, SMD = 0,269).
Le soutien de groupe en ligne
Une revue 2024 montre qu’un suivi en groupe en ligne génère une perte supplémentaire de 2–3 kg à 12 mois, avec un effet modéré (SMD jusqu’à −0,69).
Les résultats à long terme
Une étude (JMIR, 2023) sur 351 adultes montre une perte de 3,98 kg à 3 mois (~4,5 % du poids initial) et 4,18 kg (~4,7 %) à 12 mois, contre seulement 1,3–1,4 kg dans le groupe contrôle.
Oui. Les résultats sont équivalents d’après une méta-analyse portant sur 26 études. Une perte moyenne de −4,32 kg (IC 95 % −5,08 à −3,57) par rapport à l’absence de prise en charge, ce qui confirme l’importance d’un suivi structuré, même à distance.
La rechute pondérale (weight regain) après chirurgie est fréquente :
• 25–35 % des patients regagnent du poids significatif dans les 2–5 ans.
• Après bypass gastrique (RYGB), 50,2 % reprennent >15 % de la perte maximale au bout de 5 ans, et 86,5 % reprennent >10 %.
• Après sleeve gastrectomie, jusqu’à 64–76 % des patients présentent une reprise significative de poids à long terme (≥6 ans).
Les comportements postopératoires influencent fortement la durabilité des résultats :
• Adhérence au suivi médical : une bonne adhérence est associée à une perte d’excès de poids (EWL) supérieure de +7 à +14 points % par rapport aux patients non adhérents.
• Binge eating ou grignotage pathologique après chirurgie : réduit l’efficacité de la perte, avec en moyenne −11,9 % d’EWL en moins.
• Non-adhérence diététique et activité physique : environ 50 % des patients en reprise de poids citent directement ces facteurs comme cause principale.
Les comportements postopératoires (alimentation, auto-surveillance, suivi médical, activité physique, gestion émotionnelle) expliquent une part majeure des rechutes, avec des différences mesurées de 5 à 15 points % de perte d’excès de poids entre patients adhérents et non adhérents.
Oui. Les résultats sont équivalents d’après une méta-analyse portant sur 26 études. Une perte moyenne de −4,32 kg (IC 95 % −5,08 à −3,57) par rapport à l’absence de prise en charge, ce qui confirme l’importance d’un suivi structuré, même à distance.
La croyance en sa capacité à réussir influence directement les résultats.Dans une revue de 2024, les interventions renforçant l’auto-efficacité augmentaient l’activité physique (SMD = 0,32) et contribuaient à une baisse pondérale moyenne de −1,8 kg supplémentaire par rapport aux interventions classiques.
En moyenne 2 à 5 kg à 6 mois, et jusqu’à 10 % du poids initial pour les patients engagés (JMIR, 2025).

Biblioraphie:

  • Kupila SKE et al., The Effectiveness of eHealth Interventions for Weight Loss (systematic review), 2023. PMC
  • Lee SA. et al., Standalone digital behaviour change interventions: systematic review & meta-analysis (npj Digital Medicine), 2025. Nature
  • Chiavarini M. et al., E-Health and M-Health in Obesity Management: RCT meta-analysis, Nutrients, 2025. MDPI Milne-Ives M. et al., Effectiveness and usability of online, group-based interventions (International Journal of Obesity), 2024. Nature
  • VCollazo-Castiñeira P. et al., Behaviour change techniques to promote physical activity in adults with overweight/obesity (systematic review/meta-analysis), 2024. ScienceDirect
  • Anazco D. et al., Randomized trial: interactive web-based weight program vs control, 2024. PMC
  • Power D. et al., Emotional eating interventions for adults (review/meta-analysis), 2025. PMC
  • Timkova V. et al., Psychosocial distress and weight stigma in people with overweight/obesity, Frontiers in Psychology, 2024–2025

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