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9 Francais sur 10 présentent des facteurs de risque de maladies cardiovasculaires

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73% de récidive dans les 6 premiers mois après un syndrome coronarien aigu

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60 % des maladies cardiovasculaires sont évitables

Notre prise en charge inclut les meilleures pratiques de changement de comportements santé et des DTx. ​
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Notre prise en charge s'adresse à tous les publics de plus de 18 ans ayant des antécédents familiaux, ayant été diagnostiqué ou ayant terminé son traitement.

  • Un suivi par des professionnels du soin
  • Des techniques comportementales validées
  • Le ciblage des déterminants psycho-sociaux
  • Une approche multicomposante et individualisée
  • Un plan personnel de santé et un suivi personnalisés

  • Une évaluation des risques santé, des habitudes de vie et du profil motivationnel
  • Un plan personnel 360 (alimentation, activité physique adaptée, santé mentale, perte de poids… mais aussi adhésion thérapeutique)
  • Une équipe pluriprofessionnelle de la santé (infirmiers, diététiciens, enseignants APA, psychologues, …) pour encadrer et guider
  • Des interactions régulières basées sur les techniques motivationnelles et comportementales
  • Une liaison avec le soin (orientation, adressage, suivi du patient)
  • Un suivi dans la durée qui s’adapte à tous les moments de vie

Notre protocole

Nos résultats en matière de maladies cardiovasculaires

Eléments clés de la prise en charge des maladies cardiovasculaires chez l’adulte

La littérature scientifique (voir la FAQ pour plus d’informations) récente confirme que les comportements santé représentent une contribution majeure pour la prise en charge des maladies cardiovasculaires de type 2 chez l’adulte.​

Les prises en charge les plus efficaces combinent plusieurs composantes : modification des habitudes alimentaires, augmentation d’activité physique, interventions psycho-comportementales (CBT, ACT), gestion du sommeil et prise en compte des comorbidités (diabète, obésité…). La personnalisation (objectifs SMART, ajustements selon comorbidités et préférences) augmente l’adhésion et les résultats.

Les études récentes montrent que l’effet des interventions est fortement médié par l’intensité et la qualité de l’auto-surveillance et du feedback.

Les interventions numériques “pures” ont souvent des effets modestes ; l’ajout d’un contact humain (télécoaching, sessions individuelles ou groupes) améliore la rétention et l’amplitude de la perte de poids. L’humain favorise l’alliance, la résolution de problèmes et la personnalisation en temps réel.

Rappels programmés, sessions “refresher”, ou contacts de suivi (mensuels/quarterly) sont nécessaires pour conserver les bénéfices acquis. Les revues récentes insistent sur la maintenance active comme condition du succès prolongé.

Le traitement des cancers doit intégrer des volets pour réduire la stigmatisation interne, traiter l’anxiété/dépression et inclure des stratégies contre l’alimentation émotionnelle — ces éléments influencent directement l’adhésion et la réussite.

Les BCTs sont associés à de meilleurs résultats sont (renforcement social, formation d’habitudes…). Leur inclusion systématique et explicite dans les interventions augmente l’efficacité.

Santé numérique, comportements santé et maladies cardiovasculaires : les réponses aux questions les plus courantes

Oui. Les publications scientifiques récentes indiquent une réduction des réadmissions (EHR-based interventions : −17 % à 30 jours et −28 % à 90 jours dans une méta-analyse large). Selon des méta-analyses, la réadaptation digitale (téléréadaptation) améliore la capacité physique (6MWT, VO₂), la qualité de vie et la pression artérielle, avec des effets comparables ou très proches de la réadaptation classique.
Les facteurs comportementaux et métaboliques (hypertension, hyperlipidémie, tabac, obésité, diabète, sédentarité) expliquent la majorité du fardeau des maladies cardiovasculaires. Selon des données récentes du Global Burden of Disease, plus de 50 % des DALYs liés aux maladies cardiovasculaires sont attribuables à ces comportements et facteurs de risque modifiables. Par exemple, l’hypertension artérielle (systolique élevée) reste l’un des principaux contributeurs, suivi de près par les comportements liés à l’alimentation et l’activité physique. En outre, les interventions comportementales (activité physique, arrêt du tabac, gestion du poids) peuvent potentiellement réduire les récidives et aggravations des maladies cardiovasculaires de l’ordre de 20 à 40 %, selon les méta-analyses récentes.
Qualité de vie : une méta-analyse de 13 études (1 850 patients) a montré une amélioration significative de la qualité de vie (QoL) chez les patients en réadaptation cardiaque digitale (MD QoL = +0,10, 95 % CI 0.05–0.15). Capacité physique : dans les RCTs, la téléréadaptation digitale améliore la distance du test de 6 minutes (6MWT) de +16,70 mètres (MD, 95 % CI : 6,00–27,39) par rapport au groupe contrôle. Amélioration à long terme : une méta-analyse JMIR (2023) montre qu’après téléréadaptation, le VO₂ peak à long terme augmente de +1,61 mL/kg/min (95 % CI 0.38–2.85) chez des patients coronariens, avec un taux de complétion très élevé (80 %)
Les points clés : un plan d’exercice structuré à domicile, des capteurs pour monitorer l’activité, un suivi médical à distance (coaching, éducation thérapeutique), des feedbacks personnalisés, et un maintien numérique après la phase initiale de réadaptation.
Oui : dans une méta-analyse à long terme, le taux de complétion d’un programme de téléréadaptation chez des coronariens était 80 % sur plusieurs mois.

Biblioraphie:

  • Mensah GA. et al., Global Burden of Cardiovascular Diseases and Risks (2023).
  • Braver J. et al., Digital Health Programs to Reduce Readmissions in Coronary Artery Disease (JACC review, 2023).
  • Zhong W. et al., Longer-Term Effects of Cardiac Telerehabilitation (JMIR mHealth 2023).
  • Skalidis I. et al., Systematic review and meta-analysis smartphone apps for secondary prevention (2025, PMC).

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maladies cardiovasculaires

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